Auteur: xfrankiexloverx [Steph]
Genre: Drame.
Rating: R
Paring: Gerard's pov.
Summary: Hm... j'sais pas trop lala. Lisez pis vous allez voir.
Disclaimer: Je ne connais pas My chemical romance et ceci n'est que pure fiction, ne pas
copier.
Honey, this mirror isn't big enough
for the two of us.
Jamais je n'aurais cru
qu'un jour je me serais retrouvé dans cette situation. Même si en ce moment
c'était comme si j'avais vécu ça pendant toute ma vie. Je me sentais dans mon
élément, ici, dans ce vieux sous-sol, assis sur ce sofa tout moisi. J'étais
bien. En fait, bien est un grand mot mais je me sentait comme si j'avais
trouver la place ou j'aurais toujours du être. La senteur de l'alcool et de la
cigarette était celle que je côtoyais tous les jours. J'aurais aimé pouvoir
faire autrement, mais je ne pouvais pas. Une fois qu'on est habituer a quelque
chose, on ne peux plus vraiment ce défaire de cette habitude, même si elle est
très mauvaise, ce qui était mon cas. Comme à tous les jours, j'écoutais la
musique rock qui sortait des speakers. Avant, je détestais ce genre de musique,
mais on change, pour ça j'en savais de quoi.
The amount of pills I'm taking, counteracts the booze I'm drinking,
and this vanity I'm breaking, lets me live my life like
this.
J'étais en train
d'allumer une cigarette quand mon meilleur ami, Frank, vint me voir. C'était le
genre d'ami qu'il ne fallait pas faire confiance. Si on lui prêtait de
l'argent, vous pouviez être sur que vous ne la reverriez jamais. C'était aussi
le genre de gars qui pouvait coucher avec votre blonde, même si vous étiez son
meilleur ami. J'en savais quelque chose. Oh, bien sûr, je ne sortais plus avec
Heidi, mais j'avais quand même décidé de rester ami avec Frank. J'étais comme
ça, fucker.
J'étais dans une mauvaise situation, avec des mauvais
amis, en train de perdre mon amour actuel mais tout cela je m'en foutais.
J'étais fini. Depuis ce qu'il c'était passé, un an plus tôt, on pouvait dire
que je vivais une vie assez normal. Me faire traiter de 'droguer fini' par
dessus là tête à chaque jour était une habitude. Je ne prenais pas de drogue,
mais il fallait croire que j'étais quelqu'un qui semblait en prendre. Juste
quelques pilules de temps en temps mais cela ne faisaient pas de moi un droguer
pour autant. Dans mon cas, j'étais plus un alcoolique. Même que j'étais sur le
bord de faire une crise de foi, mais encore une fois, je m'en foutais.
La vie n'avait pas d'importance pour moi. Vous pourriez
dire que je la gaspillais, c'est vrai, c'est ce que je faisais. Avant que tout
cela arrive, je dessinais. C'était ma manière de faire de l'argent de me
débarrasser de tous mes problèmes dans ma vie. Mais maintenant j'essayais de
l'oublier en buvant et en me faisant dire 'shit happens.'
Vous n'aviez qu'à me regarder pour voir que je n'étais pas quelqu'un qui avais
la vie facile. J'me faisais souvent battre par mes amis. Voilà pourquoi j'avais
plein de bleu dans la figure, plein de cicatrice et souvent du sang qui coulait
de ma figure. Je les gardais quand même comme amis, car c'étaient les seuls que
j'avais. Ce battre était quelque chose de commun dans notre groupe, c'est ce
qu'on faisait pour ce défouler, et étant saoul presque 24 heure sur 24
n'aidaient en rien.
Well I'll choose the life I've taken, never mind the friends I'm making
and the beauty that I'm faking lets me live my life like
this.
Frank me parlait mais je
ne l'entendais pas. Je fixais le fond de la pièce, là où mes autres 'amis'
étaient. D'abord, il y avait mon frère, Mikey.
C'était le seul dans le groupe qui pouvait vraiment me respecter, avec Bob. Ce
dernier ne parlait pratiquement jamais, il fallait vraiment s'apercevoir qu'il
était là pour en être sur. Souvent je l'oubliais. Bien sûr, pour le respect,
personne n'était pire que Frank, mais laissons dire que mes amis n'étaient pas
mes 'vrais' amis. En fait, je ne savais plus trop comment je les considérais
vraiment. Puis il y avait Ray. Ray était comme le chef du groupe, celui qui
prenait les décisions. Ce devait être dur d'être le chef, car tout le monde
était comme moi; indépendant. C'était ça, en gros ma vie. Rester assis dans un
sofa en buvant avec mes quatre amis. Je n'avais même pas de travail. Mais
j'avais une blonde et un appartement... par contre, c'était toujours elle qui
payait, vu que je gardais le peu d'argent qu'elle me donnait pour boire.
Pathétique.
''Hey, tu m'écoute?''
La voix de Frank me ramena à la réalité. Il me parlait
depuis au moins cinq minutes sans que je ne l'écoute.
''Hm?''
Je commençais à boire ma cinquième bière en faisant
semblant de l'écouter, disant des 'ouais' et acquiesçant pour lui faire
comprendre que je l'écoutais, même si c'était faux. J'étais fatigué, tout ce
que je voulais c'était de rentrer chez moi et dormir.
''Frank, j'suis désoler, j'dois y aller.'' le coupais-je avant de me lever et de
partir. Peut-être que je n'étais pas mieux que lui finalement, mais encore une
fois, je m'en foutais. En fait, je me demandais si il y avait vraiment quelque
chose à quoi je tenais - à part la bière, bien sûr. Je sortis par la porte du
sous-sol avant de monter les escaliers qui menaient à la cuisine. La pièce
était assez en désordre. En fait, toutes les pièces étaient toujours comme ça.
C'était la maison de Frank et Ray et ces deux derniers ne faisaient
pratiquement jamais le ménage. De plus, on est tous désordonnés. Imaginer ce
que ça doit être, on passe nos journée ici. Juste nous cinq. Parfois, les gars
ramenaient des filles, mais moi ça n'arrivait pratiquement jamais. J'voulais pas être infidèle à Emily,
et cette dernière détestait venir ici.
Je sortis de la maison, me demandant si je devais vraiment
me rendre chez moi. Emily allait sûrement encore me
dire qu'il était tard, que je sentais l'alcool et bla
bla bla... À quoi
servait-t-il, qu'elle me le répète à tout les soirs, alors que j'en était
conscient et que je ne changeais pas ces habitudes, car je ne les voulais pas.
Elle ne comprenait pas.
J'étais déjà rendu devant mon appartement. L'air frais me
caressait le visage et j'étais bien. Si je n'avais pas eu envi de dormir
autant, je pense que je serais resté dehors. Par contre, je sentais que mon
corps avait besoin d'avantage d'alcool - ce que je ne pouvais lui refuser.
Buvant tout les soirs ainsi, mon corps avait commencer à être habituer, même à
aimer l'effet d'autant d'alcool. Cinq bières n'allaient pas le combler, et
comme j'aimais écouter mon corps...
En entrant dans le salon, je me rendis compte que Emily venait tout juste de s'enfermer dans la chambre de
bain pour prendre une douche. Je pris donc quelques bières (en fait,
beaucoup...) dans le frigidaire et sortit dehors. Je savais qu'elle ne me
laisserait pas boire. Je bu au moins dix autre bières avant de commencer à être
vraiment étourdie et perdu. J'essayer de concentrer sur ma montre et j'y pu y
lire 1 heures du matin. Cela faisait une heure que j'étais dehors. Il devait
rester encore deux bières (quand je vous disais que j'en avais apporter
beaucoup, ça sert un sac à dos) et je montais, en titubant, les marches avant
de rentrer dans l'appartement. C'était le silence complet, toutes les lumières
étaient fermées. Mais je savais qu'elle ne dormait pas, elle m'attendait
toujours. J'aurais aimé que ce soit différent, mais...
And you can cry all you want to, I don't care how much.
Je ne pris même pas le
temps d'enlever mes vêtements, me laissant tomber sur le lit à côté d'Emily. Mais, cette fois-ci, elle ne me parlait pas. Elle ne
faisait que pleurer. J'étais trop saoul pour m'en soucier. Je sais, vous aller
tout me traiter de con, sans coeur. Je le sais, qu'en fais, je suis pire, bien
pire, que Frank. Met que je meurs, je vais aller en enfer. Je m'endormis
rapidement, au son de ses pleures. Si je n'aurais pas été autant blesser
moi-même, je pense que je me serais sentit mal, mais c'était trop tard.
...
Six mois plus tard.
Well I hope I'm not mistaken by the news I heard from
waking.
Never again, never, never again...
Je fis réveiller par un gros 'bang' provenant de la
garde-robe. Je me relevai dans mon lit, pour la voir, en train de sortir tout
ce qui lui appartenait. Les tiroirs étaient déjà vides et c'est à ce moment que
je compris. Mes yeux auraient pu sortir de mes orbites, tellement je l'ai avait
ouvert grand. Non, elle ne pouvait pas me faire ça, elle ne pouvait pas me
quitter. Elle en avait déjà parlé mais n'avait encore rien fait de tout cela.
Mais après tout, ne le méritai-je pas? Je l'ignorais tellement, que c'était
tout ce qui aurais pu m'attendre. Emily avait, en
fait, été très patiente. Mais je ne voulais pas que ça se produise. Encore un
moyen pour que la blessure très profonde que j'avais dans mon coeur se ré
ouvre. J'avais réussis à la noyer dans l'alcool, mais elle resurgissait.
Pourrais-je survire à tout cela? Sûrement, avec beaucoup de vodka. Il fallait
tout de même que je la retienne de partir.
J'avais mal à la tête, ayant trop bu hier soir. Je n'avais
pas changé pendant ses six mois... mais par contre, tous mes autres amis
avaient réussis à me quitter, sauf Frank. Même Mikey
n'était plus de mon côté. En fait, ce qui c'était passé, c'est qu'ils avaient
tous commencé à sortir avec quelqu'un, ce qui les avaient tous fait 'mûrir'. De
plus, cela leur avaient tous fait voir la situation dans lequel je mettais Emily et ils avaient tous commencer à me dire que je la
traitait mal, qu'elle aurait du me quitter depuis bien longtemps, que je devais
m'occuper d'elle. Je ne faisais que soupirer à leur remarque. Personne ne
pouvait me comprendre. Je n'avais pas besoin d'elle... en fait, c'était ce que
je pensais mais j'avais tord, très tord. Emily était
rendu l'amie de tous mes amis. J'avais l'impression qu'elle les avaient tous
fait un lavage de cerveaux, ils n'étaient tellement plus les même, maintenant.
Elle les voyait plus souvent que moi, même que Toro
n'habitait plus avec Frank. Je les avais vraiment tous perdu. Je continuais
tout de même à aller passer mes soirées chez Frank, à boire, mais durant ces
quatre derniers mois, ce n'était plus pareil sans les autres.
And you can't touch my brother and you can't keep my friends.
and well I find it hard to stay, with the words you say.
Je l'haïssais un peu pour
ça. On ne formait pas le couple parfait. Mais tout de même, je ne voulais pas
qu'elle s'en aille et la douleur dans mon coeur commençait à me faire souffrir,
une fois de plus, en la regardant tout prendre. Je me levai et avança vers
elle.
''Emily... pars pas.''
J'essayais la méthode douce avec les yeux-qui-font-pitier,
cela devait marcher, non? Mais elle ne fit que me jeter un regard blesser,
plein de haine et elle continua à faire sa valise. Je soupirai et mit sa main
sur son épaule en la faisant retourner sur elle-même. J'essayais de la regarder
dans les yeux mais elle fuyait mon visage. Je pris donc son visage entre mes
mains et l'embrassa. Peut-être pas passionnément, mais j'essayais quand même de
lui faire voir qu'elle voulais qu'elle reste. Emily
se défit de mon étreinte et je vis des larmes qui coulaient dans ses yeux.
''Pourquoi tout d'un coup, tu fais semblant de m'aimer? Fais pas l'innocent avec moi, Gerard
Way. Depuis le début je savais que ça
marcherait pas avec toi. Tu m'as prouvé le contraire pendant un bout
mais ça faisait plus de six mois que tu me laissais seul ici. J'sais pas
comment j'ai fait pour rester avec toi, ce temps-là.''
You'll invest yourself in me, we're not working out.
This time I mean it, never mind the times I've seen it.
Elle pleurait de plus en
plus. J'ai voulu la retenir, ça c'est vrai. Mais j'suis
resté là, comme un con sans bouger. J'savais pas trop
quoi faire. J'pouvais pas lui dire que je l'aimais,
car je ne le savais même pas si c'était vrai. Cela devait faire au moins un
mois que je l'avais embrasser comme je l'avais fait. Je ne la voyais jamais, à
vrai dire. Je venais toujours coucher ici, elle faisait à semblant de dormir,
et quand je me réveillais, elle était partit. Puis j'allais chez Frank. C'était
ma routine. À croire qu'elle c'était écoeurer de moi. Je la comprenais, j'avais
de la misère à m'endurer moi-même.
Shit, je ne pouvais pas le croire, elle était partit. Cela
du me prendre au moins trente minutes avant que je décide à me bouger. Je
sortit de la maison et alla chez Frank, comme à tout les autres jours. Il était
avec sa ''blonde'' enfin, plus sont ''one night'', dans sa chambre, donc je
décidai d'aller me chercher à boire et de m'installer dans un coin du salon au
sous-sol, en fixant le vide.
Je sentais la douleur revenir tranquillement en moi. Je ne
voulais pas ressentir cela encore une fois, ça l'avait été beaucoup trop
pénible. Je me demande encore comment j'avais fait pour survivre, si il n'y avait
pas eu Emily, en fait...
J'avais mal, très mal. Les larmes coulaient sur mes joues,
mon corps fut empli de spasme de terreur quand le flot de souvenir submergea ma
conscience. J'étais brisé. J'allais mourir, là, sur le divan de Frank. Boire,
c'était la seule chose que je pouvais essayer de faire, pour me sauver.
Essayer. Si seulement j'avais eu mes 'amis' pour m'aider. Je sentais mon corps
trembler, me recroquevillant sur moi-même.
And I get a little shaken, because I live my life like this.
Flash-Back
La nuit était sombre. Je savais
pas trop pourquoi j'avais décidé d'emmener Katrina
ici, dans ce cimetière. Mais, elle n'avait pas refusé de venir, donc. Cela
devait faire exactement un mois que je sortais avec.
''Hey, Gee.
Pourquoi on est venu ici au juste? C'est pas très romantique comme place.''
Et cela devait faire un mois que je me disais que je
devrais la laisser. On n'était pas pareille et je ne savais pas ce que j'avais
pu trouver en elle. Elle me tapait sur les nerfs, à tous les jours.
''T'as pas refuser.''
J'avais dit ça un peu sèchement. On ne c'était jamais
disputer, j'avais toujours réussis à garder mon calme, mais ce soir, c'était
différent. Ça l'avait vraiment été une journée de merde, j'avais pas réussis à
vendre aucun des mes comics book.
Katrina ce retourna vers moi en fronçant les sourcils.
''Qu'est-ce que t'as aujourd'hui?''
''Rien, rien...''
Si elle pensait que j'allais commencer de parler de mes
affaires personnelles. Je ne l'avais jamais fait au par avant. Peut-être que
cela faisait un mois que je sortais avec, mais je ne la connaissais pas encore
assez. J'avais de la misère à faire confiance au monde.
''T'es sur? Parce que...''
''Rien, j'ai dit!''
J'avais crié, ce qui l'avait fait arrêter de marcher. La
jeune femme croisa les bras sur son ventre, elle semblait fâcher. Je soupirai.
''Parle-moi pas comme ça.''
''J'vais te parler comme j'veux.''
murmurais-je, mais elle m'avait entendu.
J'aurais du partir à ce moment. Je ne sais vraiment pas
pourquoi j'étais si en colère.
''T'es dans ta semaine ou quoi? J'suis tanné là. J't'e l'ai jamais dit mais j'aime pas ça quand tu viens me
voir pis que t'es avec tes amis, j'ai toujours l'impression qu'ils rient de moi.''
''Pis moi j'aime pas ça quand tu m'parles,
bitch.''
C'était sortit tout seul. J'feelais
vraiment pas, finalement.
''Pourquoi j'ai commencer à sortir avec toi, au juste?
T'es tellement con pis pathétique.'' dit-elle avant de commencer à partir.
Je couru après elle et la retournai, trop fort. Katrina tomba, sur une pierre tombale. Sa tête se cogna
contre la pierre, laissant une marque rouge. Du sang.
Elle était par terre et elle ne bougeait pas. Je la
regardai un instant, mon coeur commençant à battre de plus en plus fort. Je
m'approchai d'elle.
''Katrina? Kat-''
Ma voix se brisa. Je mis ma main dans son cou. Aucun
battement. Shit!
Fin du Flash-Back
J'avais trop eu peur que la police m'arrête alors je
l'avais traîné jusqu'au lac derrière le cimetière et l'avais jeté à l'eau.
Finalement, j'étais le plus grand salaud au monde. Depuis ce temps là, je ne me
suis jamais sentit bien. L'alcool m'a aider à enfouir cette douleur qui, ce
soir, revenait à la surface. Je n'avais pas voulu la tuer, jamais je n'aurais
voulu... J'en ai parlé à personne, ils m'auraient tous
dénoncé à la police. J'avais trop peur pour me rendre, je ne voulais pas aller
en prison. J'avais fait assemblant de paraître surpris quand ses parents
m'avaient dit que Katrina avait disparu. J'avais
mentit en disant ne pas savoir où elle était.
Je prit la bouteille d'alcool et sortit de chez Frank,
marchant. Elle était chez sa mère, je le savais. C'était directement là que je
m'en allais. Je venais de me rendre compte que j'avais besoin d'elle plus que
tout au monde. J'avais besoin d'Emily. J'avais perdu
plus que de la moitié de mon temps avec elle à l'ignorer. Je n'aurais pas du.
C'était grâce à elle -et l'alcool- si je n'avais pas souffert pendant tout ce
temps. Maintenant, l'alcool n'y pouvait plus rien. Je l'aimais. C'était à ce
moment que je m'en rendis compte. Quel idiot j'étais.
J'étais devant la maison de sa mère, cognant
frénétiquement à la porte d'entrer. Je la voyais me regarder de la fenêtre du
salon.
''LAISSE-MOI ENTER, S'IL-TE PLAÎT!'' criais-je, désespéré.
Les larmes coulaient sur mes joues. Je n'arrêtais de la
supplier de me laisser entrer.
''EMILY!... S'il-te plaît... je t'aime.''
Je murmurai les derniers mots avant de m'effondrer par
terre, la bouteille toujours à ma main. J'aurais continué à la supplier mais je
savais que c'était finit. J'allais mourir, là. Mon âme allait se briser. Je n'pouvais m'empêcher de pleurer à chaude larme. Fini.
C'était fini. Mon coeur se fracassa en mille miettes, mon âme se déchira et
tout ce qui me resta fut la tristesse et la douleur. Jamais je ne revivrais,
jamais.
''...je t'aime.''
Oh baby let me in,
I'm knocking let me in...
Fin.